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CHRISTINE

J’ai beaucoup d’amour à donner et je crois que j’ai été mise sur cette Terre pour vivre des expériences et apprendre que la meilleure façon d’être heureuse est de prendre profondément soin de soi pour ensuite déborder d’amour et d’énergie et déplacer des montagnes ! 

 

Mon message pour toi est que quelles que soient les difficultés, traumatismes, revers que tu vis ou as vécu, tu as le pouvoir de créer la vie dont tu rêves. Je suis là pour t’accompagner à créer ta vie sur mesure.

 

J’ai moi-même traversé beaucoup d’épreuves et ai totalement réinventé ma vie. C’est pour ça que je sais que tout est possible et que j’ai décidé de dédier ma vie à t’aider à être en bonne santé et à libérer le pouvoir créateur qui est en toi.

Petite, pendant plusieurs années j’ai été victime d’attouchements par un de mes cousins de 15 ans mon ainé. J’ai grandi avec cette blessure dans mon corps et dans mon âme et avec une incompréhension totale du monde dans lequel je vivais, me réfugiant dans les livres où je rêvais déjà de grands voyages et d’évasion, ainsi que dans les pots de Nutella, les gâteaux, les bonbons et les paquets de chips. J’ai empilé les kilos et j’ai passé mon adolescence dans les cabinets de diététiciennes à essayer régime après régime pour finalement atteindre la majorité boulimique, remplie de honte et d’un mal-être inouï et immensément profond. J’étais aussi une habituée des cabinets médicaux depuis ma plus tendre enfance pour toute une myriade de problèmes de santé : angines, bronchites, entorses à répétition, acné, infections urinaires, mycoses, fatigue chronique, dépression…

Pendant des années, j’ai géré mon mal être en faisant semblant d’être heureuse à base d’alcool et de drogues... Je n’avais pas une très haute estime de moi et j’avais des pensées ultra négatives qui tournaient en boucle dans ma tête à mon sujet. 

 

Malgré tout ça, ma lumière intérieure brillait et j’avais des rêves plein les yeux. Heureusement pour moi, la vie m’a offert des parents et un frère merveilleux. Grâce à leur amour et leur soutien inconditionnels j’ai réalisé beaucoup de mes rêves.

 

Le premier d’entre eux était de voyager. A 15 ans, je m’engouffrais dans un bus Eurolines, seule, en partance pour la Pologne pour aller y passer l’été dans une famille d’accueil dont je ne connaissais rien de rien. J’ai découvert là ma passion pour le voyage et les rencontres et depuis, je n’ai jamais cessé de voyager. J’ai commencé par faire mes études supérieures en Angleterre et puis véritable aventurière dans l’âme, j’ai ensuite fait le tour du monde en sac à dos : Espagne, Portugal, Italie, Suisse, Croatie, Bosnie, Allemagne, Pay-Bas, Maroc, Argentine, Bolivie, Brésil, Paraguay, Chili, Etats-Unis, Canada, Australie, Nouvelle-Zélande, Thaïlande, Chine, Mexique, Inde….

Voyager a changé ma vie. En explorant le monde, je me suis surtout explorée moi-même et j’ai découvert les profondeurs de mon être, petit à petit.

Le deuxième de mes rêves, absolument lié au premier, était de travailler dans l’humanitaire. Depuis toute petite, je ne pensais qu’à ça, je voulais aider les enfants qui n’avaient pas autant de chance que moi de vivre en France et rendre leur vie plus belle. Dès que j’ai pu, je me suis engagée auprès d’associations en tant que bénévole. Et puis je me suis formée d’abord avec une Licence d’Etude des Races et des Ethnies en Angleterre, puis un Master en Coopération et Solidarité Internationales en France. Je suis partie travailler au Ghana puis en Indonésie. J’ai ensuite travailler en France pour des ONGs puis en Inde, au Ladakh, où j’ai passé 3 ans.

 

Au Ladakh, j’ai rencontré l’homme de ma vie, Raoul. J’ai vécu la plus belle des histoires d’amour. Tout a commencé par une amitié puis notre amour fut une évidence pour nous deux et nous avons imaginé un futur à deux radieux. En août 2012 j’ai perdu mon papa. Ce fut un choc terrible pour moi. Les mois qui ont suivi j’ai alterné les séjours entre la France pour être près de ma maman et le Ladakh avec Raoul. Nous avions décidé de nous marier en Septembre 2013 et de nous installer définitivement au Ladakh. Raoul s’est tué en Mai 2013 dans un accident de la route. En 9 mois, j’ai perdu deux des trois hommes les plus importants de ma vie, le troisième étant mon frère.

A ce moment-là, ma vie s’est effondrée. Incapable de rester sans Raoul, je suis revenue en France. J’avais 36 ans et je ne trouvais plus aucun sens à ma vie. Je ne voyais plus de futur. Je me croyais vouée au malheur. Je n’avais qu’une image en tête, un tunnel sous terre très étroit et tout blanc où j’étais seule. Je voulais juste être dans mon tunnel toute seule, je ne voulais plus me confronter à quoi que ce soit, je ne voulais plus rien ressentir. Je me répétais en boucle que si ma maman n’était plus là je me jetterai sous un train pour en finir. Je me surprenais à souhaiter sa mort pour que je puisse moi aussi m’en aller car il m’était impossible de trouver la force dans mon cœur de partir et infliger cette nouvelle tristesse à ma maman. Je me disais que mon frère pourrait s’en remettre lui, car il a sa femme et ses 3 magnifiques enfants. Moi je n’avais plus rien, mon espoir de fonder une famille s’était envolé avec Raoul. Je ne vivais plus, je survivais. J’ai décroché un poste comme professeur d’anglais contractuelle dans un collège, puis par automatisme parce qu’on me poussait à le faire, j’ai passé le concours du CAPES et je l’ai obtenu. Je suis devenue professeur titulaire sans avoir jamais eu envie de devenir enseignante. Mais je me laissais porter. Aux yeux de beaucoup j’apparaissais à nouveau heureuse car je souriais beaucoup mais ceux qui savent vraiment lire dans les yeux étaient capables de percevoir ma tristesse infinie.

 

J’aimais le contact avec mes élèves, j’aimais leur enseigner ce que je sais, les écouter, les guider, les suivre au fil des jours. Je retrouvais ce sentiment d’être utile qui m’a toujours animé mais je n’aimais pas le cadre dans lequel je travaillais, toutes les interdictions, le moule dans lequel on essaie de faire rentrer les élèves. J’aimais encore moins tout ce que j’entendais de la part de mes collègues sur ces élèves qu’ils sont censés éduquer et prendre sous leur aile. Je déprimais de me sentir parfois si impuissante face à beaucoup d’injustice de leur part.

 

Mon état de santé s’est détérioré. J’ai été mise sous traitement « à vie » pour une hypothyroïdie importante. Mes chevilles ne me portaient plus et je me suis fait opérer de mes deux chevilles à la suite l’une de l’autre. Les infections urinaires, les mycoses et l’herpès génital étaient mon lot quotidien. J’étais si fatiguée et vidée que j’enchaînais les arrêts maladie.

 

Petit à petit cependant, je recommençais à avoir des rêves et notamment celui de faire un enfant. Certaine que je n’aimerais jamais un homme à nouveau comme j’ai aimé Raoul, j’ai décidé de faire un enfant toute seule et j’ai entamé les démarches auprès d’une clinique en Espagne pour me faire inséminer d’un donneur inconnu. La clinique m’a demandé de faire des examens et après un frottis de contrôle, on m’a annoncé que j’avais le Papillomavirus. Des biopsies révélèrent que j’en étais au stade 3 avec à la clé 100% de chance d’avoir le cancer du col de l’utérus et que les cellules cancéreuses se situaient tout autour du col, à midi, 3h, 6h et 9h. Il y en avait partout. La gynécologue a voulu m’opérer d’urgence me disant qu’il n’y avait pas de temps à perdre et qu’ensuite j’en serai débarrassée. J’étais tellement abasourdie que je n’ai rien dit et j’ai subi une 3e anesthésie générale en moins de 6 mois. Je me souviens être allongée dans la salle de réveil ce jour-là, incapable de me réveiller. Les infirmiers se succédaient pour me dire de me réveiller, me taper sur les joues et je n’arrivais pas à émerger du tout. Je suis restée dans cet état, incapable de rester éveillée, la tête dans la brume, pendant des semaines.

 

4 mois après l’opération, j’ai fait un frottis de contrôle. Alors qu’on m’avait bien dit que j’en serai débarrassée après l’opération, on m’annonce à nouveau que j’ai des cellules « anormales » et que je dois revenir pour des biopsies. Le souvenir des dernières biopsies étant encore à vif dans mon esprit, je panique. Je ne me vois pas du tout subir cette invasion et cette violence à nouveau. J’ai tellement souffert la première fois lors des biopsies que je n’envisage à aucun moment de revivre ça. Je me revois les pieds sur les étriers et cette pince géante qui s’introduit en moi et vient arracher des bouts de ma chair sans qu’on m’ait prévenu de ce qui allait se passer. Je me souviens de cette douleur atroce en moi et je me dis que ne peux pas revivre ça une deuxième fois. On me parle aussi d’une ablation de l’utérus si le diagnostic est confirmé.

 

Et c’est à ce moment-là que le déclic se fait en moi. Je me dis que je ne peux pas laisser s’envoler l’espoir d’avoir un enfant, aussi infime soit-il. Je suis à l’aube de mes 40 ans et finalement l’envie de vivre est belle et bien là. Et là, je fais un arrêt sur image. Je me pose en moi et je fais le bilan de ces dernières années, depuis la mort de mon papa et de Raoul. D’un coup, je réalise que tous mes problèmes de santé sont reliés à la sphère génitale. Je comprends, toute seule, en écoutant mon intuition, que j’ai somatisé la mort de Raoul dans mes organes génitaux et que mon corps ma parle et qu’il est en détresse.

 

Je me dis qu’il doit y avoir d’autres moyens de venir au secours de mon corps et je commence à chercher sur internet comment d’autres ont guéri des cancers par des méthodes naturelles. Je passe mes journées entières pendant des semaines à faire des recherches et ces recherches m’amènent à effectuer les premiers changements. On est en avril 2017 et je commence par faire des jus de légumes tous les jours et à manger principalement cru. Je continue à manger ce que je mange depuis toujours : viande, fromage, produits laitiers mais en bien moindre quantité. Je sens déjà que mes piles se rechargent un peu.

 

Puis, à l’été 2017, je pars faire la route 66 aux Etats Unis en camping-car avec une de mes meilleures amies pendant plus d’un mois. Je suis déterminée à utiliser ce voyage pour aller plus loin dans les changements et j’informe mon amie avant le départ que je ne bois plus d’alcool, ne mange plus aucun produit laitier, ni viande, et que je mange uniquement cru. Elle s’engage à m’aider autant qu’elle pourra. C’était formidable d’être soutenue et encouragée dans ma démarche de guérison. Un jour, nous sommes passées tout près d’un des centres fondés par Ann Wigmore, cette femme médecin, qui dès les années 40 préconisait les jus d’herbe de blé et une alimentation crue pour détoxifier le corps et aider le corps à se guérir lui-même. Nous décidons de nous y arrêter.

 

La rencontre avec Suzan sur place a changé ma vie. Pendant 24 heures, Elle m’a éduqué à la santé, aux mécanismes qui se mettent en place dans le corps pour en arriver à la maladie et notamment comment les cellules cancéreuses se forment et prolifèrent. Elle m’explique tout, me montre des schémas, des vidéos, des livres, des articles et elle me rédige un plan santé. Je comprends pour la première fois de ma vie que ma santé est véritablement entre mes seules mains à moi et que j’ai le pouvoir de tout inverser ici et maintenant. Ce jour de juillet 2017, au beau milieu du désert d’Arizona, je décide de me consacrer à moi, à ma santé. Je jette tous mes médicaments, y compris mon traitement pour l’hypothyroïdie, le fameux Levotirox, et le lendemain, je courre en ville acheter tout un tas de compléments alimentaires et de plantes pour soutenir mon corps.

 

Je n’ai depuis ce jour-là plus repris un seul médicament, ni même un paracétamol pour le mal de tête. J’ai tout arrêté d’un coup contre l’avis de tous. Attention, je ne recommande à personne de suivre mon exemple, les médicaments sont à diminuer progressivement avant de pouvoir être arrêtés avec l’accord du médecin traitant, mais dans l’état émotionnel où j’étais, je sentais le besoin, et la force, d’être radicale. J’ai passé les 3 semaines du reste de notre voyage à dormir pendant les longues heures de route. C’était comme si l’Univers m’avait envoyé ce voyage pour me permettre de me reposer. J’étais exténuée au moindre effort et j’avais tellement envie de voir où tout ça me mènerait que j’ai tenu.

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A mon retour en France, j’ai demandé à mon médecin de m’arrêter à nouveau pour m’occuper de moi et me reposer. Je sentais cette fatigue accumulée depuis toutes ces années et ce besoin incommensurable de me reposer. Je voulais aussi aller plus loin dans ma démarche de guérison, faire un jeûne notamment. Dieu merci, mon médecin m’a écouté et épaulé dans cette démarche pourtant contraire à ses croyances et je lui en serai toujours reconnaissante. J’ai donc fait un premier jeûne de 7 jours, toute seule chez moi et j’ai poursuivi par une alimentation 100% crue et végétalienne. 

 

Quelques temps plus tard, j’ai refait des prises de sang et ai constaté que même si ma TSH (hormone de la thyroïde) était pas mal remontée, elle ne dépassait pas les normes. Au fil des mois elle s’est stabilisée, sans aucun traitement. Et, après plusieurs mois, j’ai refait un frottis de contrôle et là, à ma plus grande joie, plus aucune trace de cellules cancéreuses !

 

J’entame en même temps un profond travail sur moi pour faire face aux blessures de ma vie passée, de mon enfance à l’âge adulte. Je m’entoure de thérapeutes et de belles âmes que l’univers met sur mon chemin. Je consacre tout mon temps, mes pensées, mon énergie et mon argent à mon développement personnel dans le but de grandir et devenir la nouvelle version de moi-même et la meilleure version de moi-même.

C’est là que je comprends pleinement que le voyage intérieur est tout autant ma passion que le voyage. Et comme le dit si bien le poète Rumi je me suis embarquée pour « le voyage de l’amour qui m’emmène de moi-même à moi-même et depuis je réponds à chaque appel qui excite mon esprit ».

Et c’est ainsi que ma mission de vie prend forme petit à petit dans mon esprit. Depuis mon voyage aux Etats-Unis et mon séjour dans le centre d’Ann Wigmore, a germé en moi le projet d’ouvrir un centre de santé en France, où les gens viendraient apprendre comment se soigner eux-mêmes et surtout comment prendre véritablement soin d’eux.

 

En parallèle, je me passionne de plus en plus par le voyage intérieur et la guérison du corps et de l’âme. J’ai envie d’apprendre sans cesse et de partager tout ce que j’apprends. 

 

Je décide donc de quitter l’Education Nationale et je m’inscris en école de Naturopathie. Je choisis l’école qui pour moi représente le mieux ce que je veux : l’école DARGERE-UNIVERS. C’est l’école de la base, de la naturopathie orthodoxe, l’école fondée par le père de la naturopathie en France, le biologiste Pierre Valentin Marchesseau. L’école que recommande Irène Grosjean que j’admire énormément. J’y reçois un enseignement théorique et spirituel et mon âme se sent nourrie d’un nouveau feu. 

J’enchaîne très vite en me formant comme Coach de Vie au Canada où j’apprends à travailler avec une myriade d’outils formidables : la PNL (programmation neuro-linguistique), l’EFT (emotional freedom technique), T.I.M.E Techniques et l’hypnose. Je me forme également auprès d’Arnaud Riou avec sa formation CONGRUENCE, une approche consciente de la totalité de l’être qui s’inspire des sagesses anciennes et m’enseigne à trouver ma posture de thérapeute, à me transformer moi-même pour pouvoir étendre mon rayonnement et transformer le Monde. 

Comme par enchantement, depuis, tout se met en place merveilleusement dans ma vie.

 

Je me dépasse chaque jour et je mets en œuvre tout ce que j’apprends pour changer d’état d’esprit, pour diriger mes pensées vers ce que je désire bâtir et pour attirer à moi toutes les bonnes choses de la vie. C’est précisément tout cet apprentissage que je mets maintenant à ta disposition pour t’accompagner sur ce chemin à la découverte de toi-même vers une version libre, authentique et joyeuse de toi-même, pour te guider vers la guérison et la réalisation de tous tes rêves.


Je te guiderai en te confiant certaines clés, astuces, méthodes et stratégies. Mais prépares toi car tu devras voyager seule, je ne peux que t’indiquer la route…

 

Comme un bonheur n’arrive jamais seul, j’ai épousé le deuxième homme de ma vie, Irphan, en Mai 2019. Mes jours sont remplis de bonheur et de gratitude. 


 

Je veux t’amener toi aussi à ressentir ce bonheur et cette gratitude infinie.

 

C’est ma mission et c’est à ça que je dédie le reste de ma vie.

« Ce n’est pas ce qui nous arrive qui détermine notre vie mais plutôt ce qu’on choisit de faire avec ce qui nous arrive. »

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